sublime sonate!à mon sens plus difficile pour le pianiste que pour le violoncelliste. cela dit le travail de son est passionant dans cette oeuvre, pour le legato, la conduite de trèèèèès longues phrases (Du pré

), beaucoup de projection mais tout en douceur... un vrai régal!
sur le travail à deux, il faut cesser de penser la partie de piano comme une espèce d'ajout à notre voix, comme si l'oeuvre était écrite d'abord pour violoncelle! surtout dans Brahms, où la partie de piano est sublime et tellement riche!l'écriture permet ici un dialogue vraiment délicieux.
voui voui, le pianiste est un vrai instrumentiste, avec une âme et un petit coeur qui bat! donnez lui de l'espace pour s'exprimer et il en sera d'autant plus receptif et à l'écoute de vos intentions musicales!
je plaisante, mais une petite phrase du genre: vas y prends les initiatives que tu veux, je te suivrai quoi qu'il arrive, est rarement superflue lors de la 1ère repet avec un pianiste qui a parfois besoin d'être rassuré sur les intentions de son partenaire... alors qu'avec les violonistes, pas besoin, cela leur semble naturel
vous avez remarqué aussi?
à propos de l'équilibre, il faut juste faire attention au 3ème mouvement , car la partie de violoncelle reste souvent dans les medium, et peut être couverte par la partie très chargée du piano: beaucoup de timbre au cello et une écoute mutuelle particulière sont nécessaires pour éviter ce piège