timothee&julie a écrit :
Effectivement, puisque les salarié chinois sont payés 40 fois moins que les français, ils peuvent acheter du bois de qualité... et vendre tout de même des instrument pour le prix ou nous luthiers n'acheterions que les fournitures.
ah ça j'aime! le bon esprit du libéralisme...
faites baisser les salaires pour permettre de fabriquer mieux et moins cher, ainsi étendre son marché et permettre d'engager plus de monde ou de les payer mieux...
j'ai une théorie selon laquelle le libéralisme ne marcherait que dans les oays émergents, et est inapplicable dans les pays du Nord... y'a qu'à voir les râtés du système US où un employé à travaillé jusqu'à 100 ans à nettoyer des bus parce qu'il n'avait pas assez pour cotiser pour un fond de pension....
jpenses malheuresement que même dans un pays émergent, le système ne va pas pouvoir rester trop longtemps car il enraîne des blocages (salaires insuffisant ne permettant d'acheter les biens de conso primaire ou de consommer en général, même si le pvoir d'achat est plus haut)
Bon c'était la page d'éco... maintenant le cello!
Ce que dis JB est malheureusment vrai, la plupart du temps les bois sont insuffisement séché (même si je pensais pas que c'était aussi long! ça veut dire que mon biniou, fabriqué en 2004, est fait dans un épicéa rouge planté il y a 250 ans pour la croissance et 60 ans pour le sèchage, c'est à dire vers 1680 environ? Ouahh

), est-ce que c'est ça qui leur fournit cette sonorité si caractéristique, un mélange d'une sorte de métalisme et en même temps un son très "projeté?"
j'attend la réponse des luthier
Stéphane, désireux de connaître les secrets de la lutherie

Le violoncelle, c'est le contraire du loto.
C'est pas facile, c'est cher et ça rapporte rien.